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Les cadeaux de Noël du MI (ADR et Frais de déplacement)
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Les cadeaux de Noël du MI (ADR et Frais de déplacement)

 
Posté le 19/12/2023

ANNONCE DIFFEREE DU RESULTAT (ADR)

Un compte rendu de la réunion du 12 décembre entre la Sous-direction ERPC et le SNICA-FO sera publié prochainement. Certains points sont positifs. 

Un sujet capital constitue toutefois un point fort d'achoppement. En effet, notre direction métier rejette notre revendication du maintien de l'ADR à J+2.

Elle considère en effet qu'il n'est socialement pas possible de faire attendre un candidat 24h de plus (sic).

Ainsi, pour la DSR, "le taux de risque est extrêmement faible".

Nous avons même eu droit à cette question que nous qualifierons ici de saugrenue "existe-t-il une étude qui prouve que la pression retombe si le candidat attend 24h de plus ?"

Pour le SNICA-FO :

1 agression, c'est déjà trop ! Même si cette mesure ne devait éviter qu'une seule agression, l'envoi du CEPC à J+2 serait justifié. A fortiori parce qu'il suffit d'une fois pour y laisser sa santé mentale, voire pire !
_

- Accepter minuit aujourd'hui (donc quelques heures de différé et non J+1 comme le dit la DSR) c'est ouvrir la porte à un délai encore plus court demain, et à la fin de l'ADR après-demain !

- Dire que les candidats ne peuvent pas attendre 24h de plus est mensonger (à de très rares exceptions près).

- La sécurité des agents est prioritaire sur tout le reste !

Nous avons diffusé cette information aux collègues qui étaient présents aux RIS qui se sont tenues depuis cette annonce.

Leur position est claire, c'est la même que la nôtre. IL EST HORS DE QUESTION DE PERDRE L'ADR !

En conséquence, vous pouvez compter sur le SNICA-FO pour tout mettre en oeuvre pour contraindre l'Administration à accepter l'envoi du CEPC à J+2 !

FRAIS DE DEPLACEMENT

Le 7 décembre dernier, le ministère de l'Intérieur publiait un nouvel arrêté relatif aux frais de déplacement (lien).

Cet arrêté abroge le précédent et remet en cause l'ensemble des dérogations dont bénéficient les IPCSR et DPCSR, notamment :

- le taux plein pour un repas non pris dans un restaurant administratif, même s'il en existe un à proximité ;

- la notion de commune au sens strict pour le droit au repas si le déplacement a lieu entre deux communes limitrophes ;

Le SNICA-FO a donc écrit au Secrétaire général du ministère de l'Intérieur pour lui demander de rétablir les IPCSR et DPCSR dans leurs droits (lien vers le courrier, réservé adhérents).

Les spécificités de nos missions justifient pleinement ces dérogations, qui, rappelons-le, ont été obtenues grâce aux combats menés par le SNICA-FO et ses mandants (2002 et 2013 notamment) et maintenues par l'action du seul SNICA-FO en 2017 (lien) et 2019 (lien).

Encore un dossier sur lequel le SNICA-FO ne transigera pas !

 

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